Melissa

Un des meilleurs reportages. J'ai beaucoup aimé la musique, il y avait beaucoup de personnes interrogées et c'était intéressant. Les lieux de tournage aussi étaient bien. Le contenu était loin d'être vide et les personnes interrogées étaient bien choisies. Vraiment que des bonnes choses à dire. Voilà.

J'ai aimé l'ensemble du reportage. Par contre, il n'y avait qu'une personne interrogée, mais au moins c'était une personne qui était bien placée pour parler. Les "clips" entre chaque interrogation. Voilà.

L'ensemble du reportage était quand même intéressant cependant c'est un sujet qui revient souvent alors on sait tous à quoi s'attendre. La diversité des entrevues m'a plu et j'ai aussi aimé la musique que l'on pouvait entendre entre chaque entrevue. Voilà.

L'introduction d'Irène était drôle et a retenu mon attention. L'entrevue avec l'infirmière de l'école était intéressante cependant ce qui était filmé n'avait pas toujours un lien mais j'ai trouvé ça drôle la mise en scène qu'Irène a fait à la salle de bain et l'idée de filmer les cadres de l'école était quand même bonne. Il y avait plusieurs personnes interrogées et voilà, c'était bien.

J'ai bien aimé l'introduction avec la voix et le zoom vers l'image. Les entrevues étaient intéressantes et les personnes interrogées étaient bien sélectionnées bien qu'il n'y en avait pas beaucoup. Le reportage m'a beaucoup appris. Bref, ça m'a bien plu.

Pour ou contre leurs méthodes d'acquérir l'information, les médias sont en quelque sorte un pilier indispensable de notre sociéte, une façon de connaître de ce qui se passe autour de nous, une façon de pouvoir éviter une erreur, une d'éviter d'en répéter une déjà commise. Pourtant, il y a un problème: il n'y a pas de limite pour eux. Ils se permettent d'intervenir dans la vie personnelle des gens, de les persécuter sans avoir même demandé leur avis. Ils ont déjà été bien loin lors de la fusillade de Dawson. Il leur fallait toujours plus, il fallait qu'ils arrivent premier.Qui sait jusqu'où ça pourrait aller si on n'impose pas de limite.

Pouvoir choisir les bagages genetiques de ses enfants, pas tres...humain. Cest pourtant ce que propose le DPI, plus precisement le diagnostic preimplantatoire. Ca vous interesse?

Depuis des milliers dannees deja, lhomme a tente de controler le sexe de lenfant par exemple en buvant du sang de lion un soir de pleine lune pendant que la femme etait vetue comme un homme, sans blague. Les connaissances scientifiques netaient pas a leur meilleur, en fait ce netait carrement pas scientifique, mais plutot...ridicule. Bref, si tu veux tu peux. Heureusement pour eux (quoiquun peu en retard), il existe depuis quelques annees le diagnostic preimplantatoire.

Le DPI est un moyen de selectionner les caracteristiques genetiques de lenfant lorsquil est encore a letat embryonnaire. Evidemment, la fecondation de lovule de la mere et du spermatozoide du pere a lieu in vitro (cest a dire en laboratoire) pour pouvoir faire passer des tests a lembryon dans le but deviter par exemple quelconques anomalies, de pouvoir choisir le sexe ou tout simplement pour eviter a lenfant davoir un nez difforme (ce qui donne une vague idee des...valeurs optimales de notre societe). Lorsque lembryon satisfait aux exigences parentales, il est alors implante dans le corps de la mere pour poursuivre une grossesse normale. Il y a bien sur un prix de plusieurs milliers de dollars a debourse, dependamment du nombre de fois que les parents ont recours aux professionnels du DPI.

p.s. desolee pour labsence dapostrophe et daccent, mon clavier est incompetent.

Je crois que le Canada a bien fait de s'y rendre, au début seulement. Il s'y est rendu parce qu'en premier lieu c'était en quelque sorte son devoir, faisant parti de l'OTAN. Cependant il devrait se retirer car la situation empire et dégénère et le Canada n'y a plus sa place. L'objectif initial était d'aider d'un point de vue humanitaire. Malgré la bonne volonté de l'armée canadienne, l'objectif a évolué de façon à ce que le Canada s'y retrouve sous une intention militaire. C'est désormais plus que jamais un malentendu entre les États-Unis et l'Afghanistan. Il serait risquer d'y laisser l'armée canadienne et mettre en péril la vie de nos soldats, déjà que notre armée est nettement inférieure à l'armée américaine.

Je m'appelle Melissa.